Une autre semaine, une autre liste. Comme j’ai déjà dit auparavant, il semble que Montréal apparaît de plus en plus dans des listes. Souvent ce sont des listes de blogues internet sans grande importance, mais qui font quand même un p’tit velours. Mais quand Montréal apparaît en bonne position dans une liste sur les 120 plus grandes villes du monde commandée par Citigroup au Economist Intelligence Unit, c’est du sérieux.
Le HotSpot Ranking est un index unique qui compare 120 des plus importantes agglomérations du monde dans huit catégories urbaines distinctes à l’aide de 31 indicateurs individuels. Ces villes représentent collectivement environ 29% de l’économie mondiale, avec un PIB combiné en dollars américains 20.24 trillions. Parmi les juges des personnalités telles que le Maire Bloomberg de New-York, le Vice-Président de Dell, La CEO de Siemens en plus d’experts en économie, urbanisme et plusieurs chercheurs qui semblaient crédibles.
Les bons classements;
89,3% et la 34e position dans la catégorie du « capital physique ». Ou, la disponibilité et la capacité d’offrir des infrastructures physique. Transports, Transports en Commun, télécommunication, etc. La 1ère position est allée à Vancouver tandis que la 35e va à Toronto.
66,7% et la 25e dans la catégorie de « Maturité Financière », la valeur et la profondeur de la santé financière des compagnies déjà établie ainsi qu’à la diversité de ces dernières. Zurich, Toronto et Tokyo se retrouvent en 1ère, 2e et 3e positions.
7e dans la catégorie des « Capacité Institutionnel », c’est à dire la stabilité gouvernemental, de son système et de son autonomie fiscale. Les trois ville canadiennes sont égales à 87,1% avec Zurich en 1ère position.
87,5% en 16e position pour son caractère social et culturel en égalité avec vancouver, Melbourne, Amsterdam et Prague. Catégorie qui inclus le dynamisme de la ville ainsi que sa qualité de vie. À noter que Toronto se retrouve en 11e place.
75,2% et une 24e position pour la qualité et la disponibilité de sa main d’oeuvre dans la catégorie du « Capital Humain ». Catégorie avec Dublin en 1ère position.
Une note parfaite de 100% et une 1ère position dans la catégorie « Environnement et risques naturels ». Cette catégorie reflètes l’engagement gouvernemental pour l’écologie et l’attirance de vouloir y habiter. Les risques naturels représentent le danger de mère nature qui est pratiquement inexistant sur notre île au beau milieu d’une rivière d’eau plutôt calme.
Une 37e position dans « l’attirance générale » ou la quantité de compagnies de renoms (fortune 500) les universités importantes et sa diversité internationale.
Le moins bon;
Montréal ne fait même pas le top 60 dans la catégorie de la « Force Financière » qui analysait la force du marché, les capacités d’achat et la possibilité de grandir. Catégorie qui est mené par les villes asiatique en ce moment. Malheureusement, cette catégorie représentait 305 de la note finale ce qui a surement nuit à la Métropole.
au classement final, Montréal se classe dans une respectable 22e position sur 120 villes internationales avec une note finale de 60,3%. Toronto se retrouve en 12e avec 63,9% et Vancouver en 18e avec 61,8%. Je ne connais pas le poids de cette liste chez les preneurs de décision mondiaux, mais c’est certain qu’elle doit être consultée et inspectée de tout bord tout côté par des gens qui en connaissent et qui comprennent le contenu beaucoup plus que moi. À vous d’en tirer des conclusions.
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